Arthuria Ill\'Yasviel

- Nom : Ill'Yasviel

- Prénom : Arthuria

- Âge : 20 ans

- Ville natale : Al-Jeit

- Son histoire :
« Seigneur Ill’Yaswiel ! C’est une fille mon seigneur ! »
Ces mots prononcés par la sage-femme à ma naissance avaient déjà scellé mon destin et celui de mon père. J’étais la première et la dernière enfant que ma mère offrirait à mon père mais cela nous ne le concevions même pas. Mon père me reçu dans ses bras, il était visiblement déçu. Il aurait préféré que je sois un homme, il aurait désiré concevoir un héritier, mais le destin en avait décidé autrement. Pourtant quand il posa les yeux sur moi dans son cœur naquit une grande tendresse. J’étais sa fille, la chair de sa chair, le sang de son sang. Son enfant.
Il n’est pas commun dans ma contrée de donner un nom aux enfants dès leur naissance. A quoi bon nommer un enfant qui ne passera probablement pas la nuit, le jour, la semaine, le mois, l’année ? Je ne me souviens pas de mes premiers jours, il parait que j’étais une enfant charmante qui faisait convenablement ses nuits et ne pleurait pas de trop.
Je n’étais pas une enfant turbulente et pourtant je volais inexplicablement la vie de ma mère. Comment ? Pourquoi ? Nous ne le sûmes qu’à sa mort, j’avais en quittant l’abri de son ventre déchiré ses tissus internes et une hémorragie interne avait lentement laissé ses forces couler hors d’elle.
Mon père était inconsolable, sa lignée s’éteindrait avec lui, il ne prendrait jamais d’autre femme. Alors lui vint une idée saugrenue, je serais son fils. Il m’éleva comme si j’avais été un homme et me nomma Arthuria. Je serais celle qui le remplacerait à la tête de la contrée.
Durant la période où les figées vivaient leurs vies des figées mon père du partir au front pour combattre les pirates des Alines. J’avais alors huit ans et ne cherchait qu’à en découdre avec le premier venu. Je le suivais donc. Grand mal m’en pris. Je fus enlevée…
Je ne vous raconterez pas mes longues années d’enfermement, sachez seulement que je connais le sens du mot torture, mes membres s’en souviennent encore. Si je survécu ce fut grâce à un étrange don qui faisait guérir mes blessures rapidement, même lorsque je ne souhaitais plus quelles guérissent. Même lorsque la mort eut été un réconfort pour mon coeur. La folie m'apparut, mais quelque chose en moi continuait de lutter.
Il y a cinq ans ans les armées impériales furent "lâchées" sur mes tortionnaires. Ils ne firent pas grand mal à cette sorte de milice, elle n'était pas organisée mais elle ne voulait se laisser soumettre. Pourtant je fus libérée. Lorsqu'un soldat de l'armée me retrouva je n'avais plus figure humaine. J'étais livide, je n'avais pas vu le soleil depuis au moins six ans, mes cheveux et mon corps n'avait pas été lavés depuis la même période. Mon corps, on n'aurait su dire s'il appartenait à une fille ou un homme, mon âge n'aurait pu être déterminé. La souffrance avait gommé tout sentiment autre que la douleur dans mon esprit. Mes joues étaient creusées par la fin et mon regard éteint. C'est grâce à ce regard que le soldat me reconnu, il m'avait admiré sept années plus tôt, droite et fière aux côtés de mon père, me battant avec courage. Il avait trouvé cette image remarquable.
Il me ramena donc avec lui à bord du bateau. Personne n'avait ne serait-ce songé que je survécus. On me prodigua les soins nécessaires une fois arrivés sur la terre ferme.
Je fus rétablie étonnamment vite, lorsque j'eus assez de forces pour parler je demandais à voir mon père... J'appris alors qu'il était mort durant la bataille où j'avais été enlevée. Les larmes jaillirent de mon corps, cela faisait longtemps que je n'avais pas pleuré mais cette douleur était autre que celle que j'avais ressentie dans les cachots des Allines.
Je ne voulais pourtant pas mourir, j'avais été sauvée, je voulais à mon tour sauver des gens. Je racontais aux gardes impériaux tout ce que je savais sur les pirates avant de me retirer. Je ne me sentais aucun attrait pour le dessins, d'ailleurs je n'aurais jamais su et ne saurais jamais dessiner ne serait-ce qu'une étincelle. Je ne pouvais pas pas devenir mercenaire ou soldat, l'idée même de combat entraine celle de mort et je ne voulais tuer personne. Je ne savais que faire j'étais désœuvrée. Mon cas avait intéressé des scientifiques, ma capacité de régénération était immense, alors... Alors on m'étudia. On finit par assimiler cette capacité au don du rêve. J'étais naturellement douée pour le don du rêve.
En y réfléchissant toute mon enfance j'avais eu des courts complets d'anatomie dans le but d'apprendre à tuer. Cela avait du m'aider... J'entrais donc à Ondine. Le fait que je sois une femme fut un peu gênant à la base mais mon attitude froide et distante finit de gommer tout les sentiments affectifs que les rêveurs et apprentis rêveurs avaient à mon encontre. J'appris à soigner autrui.
Je n'ai pas tout appris là-bas, je connaissais déjà les arcanes du corps humain dans mon enfance, je savais désormais comment les réparer. J'espérais qu'en restant à Ondine je pourrais aider les gens mais deux années passèrent sans que je n'aide personne. Je quittais donc ce gite silencieux qui m'avait accueillit pour aller gambader sur les routes de Gwendalavir où les blessés et les gens dans la détresse ne manquent hélas pas.

- Description physique du perso :
Arthuria est une jeune fille qui aurait pu être belle. Elle n’est nullement disproportionnée mais plutôt gracieuse. Elle n’est ni trop grande ni trop petite, son corps n’est ni gras ni squelettique mais sculpté par ses muscles. Elle a une poitrine qui n’est ni quasi inexistante ni surabondante et qui ne la gêne nullement dans ses mouvement.
Elle n’a pas une garde robe très développée, elle ne porte que des robes et des jupes et ses habits se déclinent en seulement deux tons. Le bleu marine et le blanc. Elle est souvent vêtue d’une chemise blanche dont le col est retenu par un lacet bleu marine assorti d’une longue jupe de la même couleur. Elle ne change pour ainsi dire jamais de tenue et son armoire est remplie de chemises blanches et de jupes bleues… à l’exception d’une robe. Cette robe, composée de dentelle elle s’arrête au buste de la jeune femme, est accompagnée d’une sorte de longue veste bleue qui couvre les bras, se ferme au niveau du cou, est retenue par un lacet blanc sur le ventre mais qui laisse apparent le décolleté de celle qui la porte et la dentelle de la robe originale au niveau des jambes. Elle porte souvent une épée à sa ceinture mais elle ne la dégainera jamais et se battra avec le fourreau car elle fit le vœu de ne plus jamais tuer personne.
Elle a de longs cheveux blonds très clairs qu’elle attache en chignon natté par n ruban bleu. Son visage est harmonieux, sa peau est claire et elle ouvre deux grands yeux bleu-verts sur le monde. Ses yeux sont telles des émeraudes dont on voudrait en percer le secret, mais gare à celui qui ‘y risquerait, il n’y verrait que peines et ténèbres.
Oui Arthuria pourrait décidément être très belle si la vie ne lui avait pas enlevé la faculté de sourire.
Il ne me reste qu’un détail à ajouter… Pas des moindres par ailleurs. Le corps entier de cette jeune fille est recouvert de blessures. Elles sont heureusement toutes cicatrisées, mais celui qui les verra apercevra un bout d’enfer. Ses cicatrices, il est facile de le deviner que ce soit par leur nombre ou leurs emplacements ne sont pas le fruits de combats mais celui de la cruauté humaine.


- Description psychologique du perso :
Arthuria est pourvu d’un caractère égal, elle n’a pas vraiment ce que l’on pourrait nommer saute d’humeur. A dire vrai elle a gommé tous ses sentiments pour pouvoir continuer à vivre.
Elle suit ce que certain appelleraient le droit chemin, mais elle n’ait nullement telle ces moutons panurges qui se jetèrent du haut d’une falaise pour suivre leur guide. Elle respecte la loi car la loi est en général juste. Sinon elle suit sa propre doctrine qui est « Tu feras de ton possible pour aider ton prochain. »
Elle n’a pas de haine, elle sait que la haine entraine la haine, elle a donc gommé ce sentiment… Comme tous les autres par ailleurs.
Elle est généreuse et offre sans compter mais on a de la peine à la remercier tellement son attitude est froide. Elle ne réfléchit pas souvent elle agit, elle continue comme ça à vivre une vie qui ne peut que la blesser. C’est maintenant une fille froide et sans sentiments. Elle a un jour décidé de les enfermer dans un boite et ne les en a jamais ressortis.
Son attitude glaciale et rigoureuse alliée à sa sombre beauté l’on faite surnommer « la reine des neiges. » Le fait qu’elle repousse tout les jeunes hommes bravant son air « farouche » sans » ménagement n’y est dans doute pas étrangers non plus.


- Armes éventuelles :
Elle utilise une épée sans tranchant pour ne jamais ôter la vie.

- Maître (instructeur) éventuel :
La vie ?

- Guilde :
Celle des Rêveurs.

- Autre précision :

Je m'excuse de cette fiche de présentation qui sera revue prochainement au niveau orthographique et arrangé grammaticalement mais il est tard et je vais dodoter.

Bienvenue

Merci =)

Bienvenue à toi, fiche validée^^

Je te met ta guilde dans l'instant.

Bon jeu parmi nous ^^

S'il te plait ne valide pas tout de suite je refais un peu l'histoire ! Se matin j'étais out et c'est vraiment laid comme présentation ><
attends une heure et relis ce sera beaucoup mieux ><

Lol... à ta guise, validation en attente ^^

Voilà c'est légèrement mieux. Merci d'avoir bien voulu attendre un peu.

Fiche validée ^^
tu peux commencer à rp si tu le veux ^^

(oui oui, j'ai tout relu ^^)

Yeah ! Merci =)